💸 Travailler à 100 % pour voir 98 % partir à l’État le ras-le-bol fiscal des Français
Published Sept. 29, 2025, 3:27 p.m. by Code-Connect
Quand l’effort individuel se heurte à une machine fiscale trop gourmande
« Je bosse 60 heures par semaine, je facture, je gère, je enseigne… et à la fin, il ne reste presque rien. » cri du cœur, partagé par des milliers de travailleurs indépendants, résume une réalité de plus en plus insupportable : e fiscalité qui semble punir l’effort.
📊 98 % de prélèvements ? Une exagération… mais révélatrice
Non, le taux réel de prélèvement n’est pas de 98 %. Mais dans certains cas extrêmes — cumul de charges sociales, impôts sur le revenu, TVA, CFE, CVAE, URSSAF, taxe foncière, taxe d’habitation résiduelle, cotisations retraite, mutuelle obligatoire… — le ressenti fiscal dépasse largement les 60 à 70 %.
Et ce ressenti est amplifié par :
- Des acomptes automatiques parfois mal calibrés
- Des pénalités en cas de retard ou d’erreur
- Une complexité administrative qui décourage même les plus rigoureux
🧠Le paradoxe français : productivité élevée, découragement fiscal
La France est l’un des pays les plus productifs d’Europe par heure travaillée.
Mais elle est aussi l’un des pays où le taux de prélèvements obligatoires est parmi les plus élevés au monde (43,5 % du PIB en 2024 selon l’OCDE).
Ce paradoxe crée une tension :
Plus on travaille, plus on est ponctionné.
Et plus on est ponctionné, moins on a envie de travailler.
🧱 Les indépendants en première ligne
Les freelances, artisans, commerçants, professions libérales… sont souvent les plus exposés :
- Pas de salaire fixe
- Pas de chĂ´mage
- Pas de congés payés
- Et une fiscalité qui ne tient pas compte des aléas
Pour eux, travailler à 100 % ne garantit pas une vie digne, surtout quand l’État prélève sans discernement.
🔥 Une colère qui monte
De plus en plus de voix s’élèvent :
- 📢 Des collectifs d’indépendants dénoncent l’« asphyxie fiscale »
- 🧮 Des simulateurs de revenus montrent des écarts absurdes entre brut et net
- 🧾 Des entrepreneurs envisagent l’exil fiscal ou la micro-entreprise comme échappatoire
🎯 Conclusion : il est temps de repenser le contrat fiscal
L’impôt est nécessaire. Il finance l’école, la santé, la sécurité.
Mais quand il devient confiscatoire, il détruit la motivation, l’innovation, et la dignité du travail.
Travailler ne devrait pas ĂŞtre une punition.
Et l’État ne devrait pas être un partenaire invisible qui prend tout… sans jamais écouter.
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